L’intelligence artificielle mariée à la robotique pour soulager l’homme. Sébastien Ecault développe cette idée depuis 2016 avec E-COBOT. Ses « cobots » intelligents sortent des usines à Carquefou. L’entreprise est candidate au prix de l’entrepreneur EY Ouest. Les lauréats seront connu le 30 septembre à Rennes.
C’est une start-up qui héberge et épaule une autre start-up. Dans l’usine flambant neuve de Systovi, du groupe Cetih, à Carquefou, e-cobot a posé ses premières lignes de production. Toujours une étape importante dans la création d’une entreprise industrielle. « Tout va très vite actuellement, » reconnaît sobrement Sébastien Ecault…

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Développer des partenariats avec les éco-systèmes régionaux
« Notre ambition est de retenir au moins 200 nouveaux projets par an à partir de 2020 », avance Michel Sesques. Initialement actif plutôt à proximité immédiate des sites d’implantation du groupe, Airbus Développement a élargi progressivement ses interventions au périmètre des anciennes régions Midi-Pyrénées, Aquitaine, Île-de-France, Pays de la Loire et Paca, puis à l’ensemble de l’Occitanie et de Nouvelle Aquitaine.
Des nouveaux prêts « Innovation »
Pour les entreprises accompagnées : des prêts participatifs à taux réduits sans garantie jusqu’à 50 000 euros, mais aussi du conseil…

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Basée à Carquefou, la start-up créée par Sébastien Ecault a mis au point le premier cobot intelligent et autonome qui aide les ouvriers dans leur travail de manutention.
Il s’appelle Husky, comme le chien de traîneau. Comme lui, il peut tracter des charges lourdes, jusqu’à 2 tonnes, ou porter 400 kg sur son dos en suivant son maître, puis retourner tout seul d’où il vient en slalomant entre les obstacles.
Mais Husky ne ressemble en rien à un gros toutou. Il est carré, court sur pattes, habillé d’une coque plastique et se déplace sur des roulettes. Husky est un cobot, ou robot collaboratif, conçu pour soulager les ouvriers de …

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Ingénieur en automatique, Sébastien Ecault, 36 ans, a lancé sa société en 2016. « J’avais un grand-père garagiste, l’autre ébéniste. Je les ai vus souffrir pour manier des charges en fin de carrière. J’ai voulu trouver une solution » , explique-t-il aujourd’hui. Son imagination, conjuguée à celles des 31 personnes qui travaillent désormais à ses côtés, a donné naissance à un premier cobot, Husky, qui porte jusqu’à 400 kg de charge et peut tracter deux tonnes. Le second cobot, Hulky, est destiné à faciliter la manipulation humaine des éléments lourds et…

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La société vient d’engranger près de 2 M€ de commandes de robots coopératifs.
Moins de trois ans après sa création en région nantaise, E-COBOT connaît un développement des plus soutenus. Spécialisée en conception et intégration de solutions cobotiques et intelligence artificielle, elle vient, en effet, d’engranger près de deux M€ de commandes de robots coopératifs. Destinés pour moitié à l’industrie aéronautique, les premiers cobots deviendront opérationnels chez Airbus Nantes et Saint-Nazaire à compter du début de l’année 2020. Ils seront tous du modèle Husky. Conçues pour ….

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E-cobot déroule son plan de marche. La startup nantaise créée en 2016 par Sébastien Ecault et spécialisée en conception et intégration de solutions cobotiques et intelligence artificielle a lancé la commercialisation de son Husky, un cobot mobile intelligent qui aide les opérateurs dans la manipulation de charges. Il peut ainsi transporter jusqu’à 400 kg et tracter 2 tonnes de marchandise. Et évoluer en mode suiveur, c’est-à-dire suivre l’opérateur, ou en mode autonome, …

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Après les grands comptes, les systèmes d’automatisation et autres cobots pourraient débarquer en plus grand nombre dans les PME/ETI. Mardi matin, lors d’une conférence de la SITL portant sur le déploiement de ce type de solutions, plusieurs fabricants et intégrateurs ont en effet souligné le phénomène. « Aujourd’hui, la cobotique suscite également l’intérêt des PME », a ainsi déclaré Christophe Scheid, chief operating officer d’E-Cobot. « Nous assistons à un changement d’échelle, a indiqué de son côté Ghanem Djemal, directeur général d’Alstef Automation. Les systèmes automatisés intéressent désormais les PME. A l’instar des grands comptes, elles cherchent à accroître leur productivité et sont confrontés aux mêmes difficultés de recrutement sur des postes manuels. »…

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