Cobotique robot collaboratif cobot, quelle différence ?
la coopération d’un robot avec l’être humain
La « cobotique » vient de faire son entrée dans le « Larousse 2020 » au côté de « cobot »
Définition : « technologie dédiée à la conception et à la construction des cobots »
La base de la cobotique est la coopération d’un robot avec l’être humain, et non plus son remplacement.
Cette technologie émergente vise à compléter la robotique traditionnelle pour rechercher les meilleures interactions possibles entre individu et machine, dans le cadre de l’exécution d’une tâche pour atteindre un objectif commun. Transdisciplinaire, la cobotique ouvre la voie à de nouvelles applications dans des secteurs variés.
Un cobot n’a pas pour vocation d’être indépendant ou programmé
Un cobot n’a en effet pas pour vocation d’être indépendant ou programmé pour une tache qu’il répètera indéfiniment dans son coin. Qu’il soit piloté en temps réel, configuré à l’avance, ou qu’il travaille à côté d’un humain, le cobot est conçu pour aider et assurer la sécurité des biens et des personnes à proximité.
Le cobot intègre les sciences cognitives pour étudier la compréhension de la réaction de l’individu
Ils intègrent également d’autres expertises comme les sciences cognitives pour étudier la compréhension de la réaction de l’individu ainsi que l’ergonomie et la biomécanique qui visent à adapter le travail, les outils et l’environnement à l’individu, ou encore l’analyse des risques.
“Robot Collaboratif à ne pas
confondre avec Cobot :
Un cobot n’a en effet pas pour vocation d’être indépendant ou programmé pour une tache qu’il répètera indéfiniment dans son coin. Qu’il soit piloté en temps réel, configuré à l’avance, ou qu’il travaille à côté d’un humain, le cobot est conçu pour aider et assurer la sécurité des biens et des personnes à proximité.
Un robot collaboratif est un système mécatronique actif issue de la famille des robots industriels historiques. Il est capable de réaliser et répéter des taches programmées à faible vitesse et embraquant de faibles charges aux côtés d’un opérateur sans barrière matérielle. Il est doté de capteurs qui lui permettent un premier niveau de sécurité et d’arrêt de sa trajectoire lors d’un contact avec l’opérateur.
ATTENTION en fonction de la charge embarquée (ex : Pince avec objet coupant) ou de sa vitesse d’exécution, il est indispensable de réaliser une analyse de risque AMDEC et analyse de poste afin d’ajouter des capteurs sécuritaires complémentaires SIL3 afin de créer une application coopérative.